Le métier de la Gestion de Patrimoine (et par inclusion, de la gestion privée) s’est longtemps cru sanctuarisé et protégé par l’idée qu’il se faisait de la valeur du conseil. Las, son modèle économique s’est largement effrité ces dernières années, faute de n’avoir su recalibrer son offre, ses prix, ses coûts et ses méthodes face aux bouleversements environnants.
Parmi ces derniers, outre la baisse drastique des marges, viennent au premier rang l’évolution des usages et comportements des consommateurs, et la fringale de « disruption » qui s’est emparée de jeunes pousses prêtes à en découdre avec les systèmes dits traditionnels.
Nouveaux usages, nouveaux comportements : il y a bien sûr lieu de s’attarder sur la digitalisation (voire l’automatisation) des parcours client, la recherche de rapidité et de fluidité des échanges et transactions, …mais aussi sur des besoins beaucoup plus individualisés, et une confiance à géométrie variable envers les institutions.
Pierre-Alain de Malleray évoquera ses choix, sa vision et ses convictions lors du Déjeuner-Débat du 2 Juillet prochain au “Onze”
Vous pourrez partager avec lui l’expérience de Santiane et son modèle atypique, et échanger sur les interactions entre distribution physique, algorithmes, monitoring marketing, pilotage moderne de plateformes…en toute convivialité !
La fraude à l’assurance représente bon an mal an 10 à 12 % des indemnités versées, voire d’avantage sur certaines branches… Phénomène de société ? Sport national ? Conséquence d’un manque d’information ? Elle fait manifestement aussi l’objet d’un déni conscient ou inconscient de la part des parties prenantes, alors même qu’elle est l’ennemi n°1 du fondement de l’Assurance : la confiance.
Les enjeux restent donc considérables tant sur un plan économique que sociétal.
L’objectif des Assises de la Lutte contre la Fraude à l’Assurance est de rassembler tous les acteurs concernés pour débattre autour des nombreux questionnements d’actualité.
CLa réforme dite du “100 % Santé”, promesse de campagne du candidat Macron, crispe les professionnels du secteur. Selon les assureurs complémentaires, elle va induire une augmentation des dépenses qui devra être compensée par une hausse des cotisations. De l’avis des professionnels de l’optique, de l’audiologie et du dentaire, elle va générer un niveau service à deux vitesses, un recours massif à l’import et une augmentation mécanique des prestations du panier libre.